Le compost du Couzon, maintenant
nommé « FERTICHEVAL » ®, fait l’objet d’une fabrication soignée à
partir des fumiers des chevaux et poneys du Centre Equestre de Vienne Le
Couzon. Très respectueuse de l’environnement, dans une perspective de
développement durable, la méthode est maintenant bien au point. Le projet lancé
en 2003 à la fin de la sécheresse est reconnu et soutenu en partie par Rhône
Pluriel (Région 25% et Département 15%, sur une partie des investissements).
Camille et Laurence CAUPIN LAMY, qui
ont mis au point la fabrication de ce compost à haute valeur agronomique, très bien
intégré à l’ensemble de l’activité du Centre Equestre de Vienne Le Couzon, ont
tenu à donner du temps au temps. Ils se sont entourés des conseils et des avis
de scientifiques, de jardiniers avertis et professionnels de la terre avant de
lancer la marque FERTICHEVAL ® sur le marché.
Régulièrement par des laboratoires
indépendants, l’INRA et d’autres organismes scientifiques et professionnels s’y
intéressent : l’ISARA, le SERAIL, le CTIFL, ARVALIS... Sans aucun additif,
issu de matières nobles en amont, de fabrication artisanale et locale, FERTICHEVAL
® est conforme aux normes européennes de certification en agriculture
biologique (label AB).
Sans OGM, ni métaux lourds, ni phytosanitaires
des pailles, il est maintenant utilisé en
toute confiance par les producteurs certifiés AB (certifications AB par
ECOCERT, ULASE, QUALITE France…).
Il diffère ainsi de tous les autres
composts issus d’autres matières : boues de station d’épuration, fumiers
d’animaux de bouche (ruminants, porcs, volaille, etc.), résidus de l’industrie
agroalimentaire, déchets verts des villes et des particuliers FERTICHEVAL ® a aussi été testé en
pleine terre, pour les fleurs comme pour les légumes et les arbres, par une
cinquantaine d’autres jardiniers et agriculteurs qui se réjouissent de nous
avoir fait confiance.
Aujourd’hui, FERTICHEVAL, est
disponible pour les particuliers et les professionnels de la terre certifiés AB
(agriculture biologique) conformément aux normes européennes. De fabrication
artisanale mais rigoureuse, il offre une parfaite traçabilité. Il reste diffusé
au niveau local. Pour les professionnels, en quantités importantes (plus de 500 kg), il est proposé en vrac ou en big bag, par souscription, avant mise en
andain, disponible à telle date.
Un terrain expérimental a été
installé en août 2004 sur un terrain médiocre, argileux, en pente.
C’est la terre du pays, une argile
très collante dense, et très fine constituant une butte de remblai ordinaire.
On a mis environ 2 kg par m2 sur une
partie du terrain et on a laissé faire la nature, on n’a pas semé, ce sont les
pollens naturels qui ont fait le travail d’ensemmencement. Parce que le compost
est indemne d’adventices (plantes parasites venant des graines résiduelles qu’on
trouve dans les fumiers, à cause du foin, grâce au compostage qui porte le
fumier à plus de 70 °C durant quelques jours spontanément et naturellement sans
aucun additif. Les photos montrent le terrain
expérimental tel qu’il est en février 2006, soit 18 mois après l’étalement du
compost sur une partie du terrain. On observe les parcelles de terrain
avec ou sans compost.
L’évolution du terrain est
impressionnante à observer
D’un côté, on observe une reprise de
la vie, l’humus est reconstitué, la végétation reprend.

De l’autre, la désolation et le
désert qui s’installe.

Avec compost : l’humus est en voie
de reconstitution, la terre est recouverte d’un manteau végétal, la vie reprend.
Deux phénomènes principaux :
-
la résistance à l’érosion par les
pluies et par le gel (après 2 hivers) : l’argile est un colloïde minéral, elle
est imperméable, mais elle se rétracte et se fissure quand vient la sécheresse.
Elle se resserre, se durcit et bloque le passage des racines qui pourraient
accéder à l’eau qu’elle contient encore. L’eau de ruissellement s’infiltre alors
dans les crevasses et emporte l’argile tant qu’elle n’a pas repris son eau de
constitution quelques heures après la remise en contact avec l’eau. Jusqu’à ne
laisser que les cailloux !
-
la résistance à la sécheresse grâce
à la capacité de rétention d’eau du compost : le compost est un colloïde
organique, il fait contient une substance qui ressemble à de la gélatine, un peu
visqueuse. Quand vient la sécheresse, cette substance se rétracte mais ne se
déchire pas, elle forme une peau étanche qui garde l’eau et la laisse disponible
pour les racines. Quand revient la pluie, l’eau glisse sur cette peau, et elle
la « regonfle », rendant l’eau à nouveau accessible aux racines.

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Les témoignages
Mon père était maraîcher, il y a
donc plus de 50 ans que je fais du jardinage. Maintenant, je m’occupe de mon
jardin avec mon fils. Ce produit du Couzon est très intéressant. Nous avons eu
de bons rendements en légumes. J’ai eu la joie de donner mes surplus à ma
famille. Le résultat est impeccable. Avant, je prenais du fumier de bovins,
mais je n’en mettais pas beaucoup. Nous avons un terrain sableux avec des
sources, et il a tendance à donner des écoulements.Louis RAYNAUD, Vienne, ancien
responsable de relations humaines chez EDF.
Ancien maraîcher en retraite, je
fais du jardinage depuis plus de 50 ans Ma terre est argileuse. J’ai utilisé
ce produit du Couzon sur les tomates, les haricots, les poireaux, la chicorée amère, les choux, les
courges et les fleurs, en particulier les reines marguerites, mais pas de
pommes de terre cette année. Dans l’ensemble, c’est valable. J’ai mis aussi un
engrais complet. J’en avais pris 400 kg sur 300 m.. Et aussi sous mes
tunnels. Je mettais du Fumeterre ®, c’est un produit que je connais depuis
longtemps. J’allais en chercher en camion à l’usine de Saint Chef, et je
continue d’en prendre chez « Servanin » à Septême. Sur les reines
marguerites, la pousse a été meilleure, elles ont eu de très belles tiges, le
compost du Couzon y est pour quelque chose. Il aide la terre à tenir la
fraîcheur. J’en ai mis sur mes salades, la mâche, les pommes de terre, les
poireaux, les haricots. A ce jour, je peux dire que ce produit vaut largement
Fumeterre ®, on verra dans le temps. J’en reprendrai. Félix MICHAT, Septème, ancien
maraîcher.
C’est un très bon amendement, les
végétaux ne risquent pas d’être grillés. Je n’en attends pas un effet immédiat.
J’ai utilisé le compost du Couzon sur une parcelle pauvre, dont la terre est de
l’Arzel, c’est une roche granitique qui se désagrège au contact de l’air. J’en
ai mis sur mes pommes de terre, les salades et les tomates. Ca a été mieux que
les années précédentes. Bernard DECLIPPELEIR, Vienne,
horticulteur professionnel, et aussi jardinier à ses heures.
J’appartiens à une famille
d’agriculteurs, j’ai donc fait du jardin depuis toujours. Travailler la terre,
c’est un moment de repos, de détente, qui redonne de l’équilibre. J’ai mis du
compost du Couzon en septembre 2004 et j’ai labouré. J’ai remarqué que les
pommes de terre et les salades ont été superbes, en qualité et en quantité. Je
n’avais pas fait de parcelle témoin, et j’année précédente, j’avais fait des
salades et des carottes. J’ai fait aussi des aubergines. Mes pommes de terre
ont été très abondantes dans toutes les variétés que j’avais mises : des
précoces, des rattes, des belles de Fontenay. J’avais mis aussi de la corne
broyée. Il y a 3 ans, j’avais un cheval en pension ici, et je recueillais ses
crottins, mais ici, j’ai obtenu de meilleurs résultats avec le compost du
Couzon. Voir les légumes pousser, c’est
passionnant ! Pour un homme, on pourrait dire que c’est comme mettre un
enfant au monde ! et quand on montre ça à ses petits enfants… Gérard TREMOUILHAC, Villette de
Vienne, ancien directeur commercial et marketing d’une entreprise de nutrition
clinique (alimentation des malades par sondes entérales ou parentérales).
Mes parents avaient un jardin et
j’ai continué, je fais donc du jardin presque depuis que je suis né, il y a
plus de 50 ans. J’avais entendu parler du compost du Couzon. Ca a été
impeccable pour les tomates. J’ai des moutons et j’en tire aussi du fumier.
Pour comparer, j’avais donc fait un rang avec mon fumier de mouton dont je sais
qu’il est très bon, et un autre avec du compost du Couzon. Je sais que le
fumier de mouton est très riche en azote, peut-être trop pour les haricots ou
les fraises. Si on a trop d’azote, on a trop de feuilles par rapport aux
fruits. Je vais essayer cette année le compost du Couzon sur les haricots. Roger GACHON, président et
responsable d’associations, ancien conducteur de poids lourds, puis employé
municipal.
Je tiens à cultiver mes légumes
moi-même. En tant que médecin, je suis bien placé pour voir l’intérêt d’avoir
de bons fruits et légumes. J’ai eu de très bon résultats avec le compost du
Couzon dès la première année, j’ai commencé par en prendre 400 kg en 2004, puis encore autant l’année suivante. J’en prends encore autant
cette année. Je prends le compost du Couzon pour aérer ma terre, et je complète
avec du fumier de bovin. C’est un produit bien fait, bien travaillé, il
s’intègre très bien à ma terre. En 2004, la première fois, j’ai essayé sur 40 pieds de tomates, c’est un bon test, les tomates ! tout a bien marché,
les plantes sont venues facilement, c’est un produit qui s’intègre très bien à
ma terre. Docteur Jérôme BŒUF, médecin,
Jardin.
A 78 ans, j’ai plus de 50 ans d’expérience
de jardinier « amateur ». Je suis bien content d’avoir pris du
compost du Couzon, en deux fois 200 kg. Tout a bien poussé, tomates, pommes de terre, salades, tous les
légumes du petit jardin. Ce produit s’est trouvé en parfaite harmonie avec ma
terre. Je ne travaille qu’avec des produits naturels. J’ai noté la propriété de
rétention d’eau de ce compost du Couzon, j’ai pu moins arroser cette année. Bernard DUBOEUF, ancien artisan,
Vienne.
Il y a plus de 40 ans que je suis
jardinier amateur. Je n’ai utilisé le compost du Couzon que sur les poireaux et
j’en ai été ravi. Ils ont eu très peu la maladie, et je ne les avais pas
traités. Ils étaient jolis. Nous avons tout mangé et comme nous en avons
congelé, nous sommes bien heureux d’en avoir encore. L’an dernier, je n’avais
pas mis ce compost, mes poireaux ont été bien tristes, ils ont eu le ver
intérieur ou ils ont pourri. Je n’avais pas fait de tomates en 2005, mais je
reprendrai du compost du Couzon pour les tomates en 2006. M. et Mme Jean MULPY, Vienne. Jean
Mulpy est ancien agent de maîtrise des Ets Cellette, son épouse est responsable
d’une association qui anime une maison de retraite à Vienne.
Le compost du Couzon est un produit
qui enrichit énormément la terre, il la rend plus apte à garder l’eau. Quand on
sème, l’herbe reste très verte et elle lève très facilement. Les graines trouvent
tout de suite la nourriture jusqu’à ce leur système radiculaire fasse son
chemin. J’en reprendrai sûrement, autant pour moi que pour mes clients. J’en ai
mis aussi en mélange avec de la terre du pays. Je n’ai eu aucune perte et j’ai
fait de réelles économies en terme d’arrosage. J’ai un client qui m’a fait
faire un jardin paysager avec des fleurs annuelles, il a trouvé ce produit
superbe. Gérarld COLCOMBET, paysagiste,
Chasse sur Rhône
Je travaille ma vigne en bio, et
j’ai bien observé comment le Centre Equestre de Vienne Le Couzon fabriquait son
compost 100% fumier cheval poney. La première année, je suis venu retourner à
la main avec M. Caupin l’andain qu’il m’avait réservé. Nous avons chargé le
compost du Couzon dans des caisses de vendange réformées de 50 litres qui servent pour ça. Je les emporte dans mes vignes, c’est commode avec
ma chenillette dans les endroits escarpés. J’en ai repris cette année, et on a
encore amélioré la méthode de manutention. On serre les caissettes les unes
contre les autres, M. Caupin prend le compost avec la fourche de son tracteur,
il benne sur les caisses, et le tour est joué, on remplit 25 caisses à la fois.
Il reste à les emporter dans les vignes. Je sais que les anciens amendaient les
vignes, mais il y a bien longtemps qu’il n’y a plus de bêtes à Verenay, et j’ai
décidé de refaire comme eux. Je verrai le résultat dans 10 ans... Gilbert CLUSEL ROCH, viticulteur en
Côte Rôtie, Verenay
Je fais tous les légumes sur 200 m2, tomates, salades, poireaux, radis, courgettes, aubergines, poivrons…
Ma terre est argileuse, je la travaille depuis 30 ans. Cet été, j’ai arrosé. Le
compost du Couzon a eu un effet très bénéfique sur ma terre dès la première
année. j’avais étalé 120 kg au printemps. On a vu
tout de suite la différence, ça a bien donné, on va continuer. J’ai eu du
« pôt » de tomber sur vous ! René MEVEL, Les Côtes d’Arey,
chercheur en tribologie au Centre de Recherche ELF à Solaize.

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